Transport et chargement de grumes avant la mécanisation
Mise en forme et illustrations originales de Maurice Pommier d’après un collectage auprès de son beau-père, qui fut roulier entre les deux guerres.
Le départ
Le retour
Entre les deux, c’est ici :
Pour comparer avec les modes opératoires de l’Est de la France et des Pays alémaniques ( voir « cric à cheville »).
On remarque :
Dans les deux cas, la nécessité de charger au maximum ( trois grumes ) pour économiser du temps de trajet.
Pour le cric à chevilles : trois longues grumes ( résineux ) et trois personnes.
Pour la France de l’intérieur: deux grumes courtes (chêne) de la longueur du plateau du grand brancard et une longue sous le triqueballe. Le tout chargé par une seule personne.
Nul doute que le couvert forestier a façonné et rationalisé au fil du temps ces deux techniques.
superbe! bravo à vous deux!
ronan
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