Ça peut arriver au BP ?
Nous vous proposons donc une page de bonus ce ce truc improbable dans la vraie vie.
Comme vous pouvez le constater, il suffit de doubler les traits pour le déjoutement contre les faces d’arbalétriers et de laisser filer les chambrées de chevron jusqu’à la trace au sol du pied d’arêtier. Il suffira ensuite d’aligner comme de coutume avec rigueur et méthode.
Comme vous pouvez le remarquer, un des deux points du repos coté 100% sort de la trace au sol et n’est pas directement utilisable.
Les tracés concernant les déjoutements sont au delà des traits de coupe de tête sur le poinçon !
Il faut cependant tailler la coupe de tête.
Puis rembarrer les repos à l’intérieur de l’engueulement (comme pour un arêtier aplomb) ceux ci sont d’équerre.
On peut donc tailler et mettre au levage.
Noter la valeur du repos qui correspond à la chambrée de chevron.
Idem de l’autre coté.
Variante:
Tracé de l’arêtier par alignement sur la herse du versant à 80%.
Tracé de l’empanon à 100% sur l’élévation du CE par rembarrement.
Le tracé du repos du versant à 100% est encore mois utilisable !
On peut bien entendu le tracer à l’épure mais cela ne représente pas d’intérêt pratique.
Mais on peut aussi utiliser le pied d’arêtier…
Ou la retombée de la coupe d’empanon.
LA CHARPENTE DES DEUX OURS 