Epure1
Épure d’un pavillon rectangle.
Le long pan a 32 cm de reculement et 60% de pente, la croupe 100%
Une saillie est tracée pour mémoire à 5cm car la maquette sera réalisée sur entablement.
Reprise de la page , cependant : pour faciliter la taille d’une échantignole, les pannes sont établies à l’arête inférieure (repérées « Z p ») que qui engendre deux paires de niveaux au lattis : « Z lp » et « Z cr ».
Première méthode.
L’élévation de l’ « arêtier » est en fait l’élévation de la ligne de raccord au lattis.
Le corps d’arêtier est établi « au dessous de la chambrée de panne » et, de ce fait, dévoyé par rapport à l’axe du raccord au lattis. Il est ensuite intégralement échassé sur l’élévation de la ligne de raccord.
L’ensemble de l’épure est ainsi établie, comme de coutume, par rapport au lattis mais la nécessité d’échasser complique sensiblement l’établissement des repos des pannes.
On remarquera par ailleurs le tracé particulier des coupes aplomb des pannes (reprise de la page 140) et détaillé au chapitre « pannes et empanons ».
Epure2
Même raccord et même conditions que pour l’épure précédente.
Cependant, pour simplifier l’établissement du corps d’arêtier et des repos de pannes, on ne considère que le raccord issu des plans des dessous des pannes. De fait, deux élévations se superposent mais sont distinctes : l’élévation du raccord et celle du corps d’arêtier.
Moins de traits mais plus original. (On fait comme d’hab, mais moins.)
Le reste est inchangé.
Enfin, les coupes aplomb des pannes sont établies, comme de coutume, selon un plan vertical et devront, en cas de fourrure verticale ou chanlatée, être désaboutées.