La maquette étant pointée : des avant trous et une pince multiprise faciliteront grandement le travail.
La mèche est réalisée dans une pointe affutée selon l’usage, un rayon de roue de vélo rendra les mêmes services.
Tracé de la saillie et mise en place des murs.
(Amovibles et facultatifs, mais qui démontrent, si besoin est, qu’un pavillon sur saille se traite de la même manière qu’un pavillon sur entablement, hormis la coupe de pied des empanons et la répartition des pannes).
En croupe l’arêtier et l’arbalétrier rentrent dans les murs…
On peut tracer selon la vue en plan, les deux faces verticales de l’arêtier et son chant.
L’angle sur la verticale du mur a été obtenu à la sauterelle sur l’élévation du C.E de long pan (plan du chant de l’arêtier/ plan du C.E).
Détail du départ de la S.E du chant de l’arêtier en direction de l’axe du C.E de long pan.
Tracé des chambrées de chevrons (crayon – facultatif ) puis tracé de la ligne passant par la rencontre des chambrées (voir page 140) afin de positionner au plus juste les chevrons d’arêtier. (voir épure 1)
Pas de difficultés particulières pour la croupe…
Ni pour le long pan…
Détail du chevron d’arêtier, coté long pan, pouvant être cloué sur la sablière de croupe..