Même raccord et même conditions que pour l’épure précédente.
Cependant, pour simplifier l’établissement du corps d’arêtier et des repos de pannes, on ne considère que le raccord issu des plans des dessous des pannes. De fait, deux élévations se superposent mais sont distinctes : l’élévation du raccord et celle du corps d’arêtier.
Moins de traits mais plus original. (On fait comme d’hab, mais moins.)
Le reste est inchangé.
Enfin, les coupes aplomb des pannes sont établie, comme de coutume, selon un plan vertical et devront, en cas de fourrure verticale ou chanlatée, être désaboutées.